Cet article propose une explication concernant la stratégie de vaccination Covid-19 de Donald Trump, répondant ainsi aux nombreuses interrogations concernant ses réelles intentions et son rôle dans cette guerre des mondialistes contre les peuples. Le contenu de cet article repose principalement sur les brillantes analyses de Radio Québec, et notamment leur dernier Web Journal WARP SPEED: Une chance pour l’humanité?.
Au début de son mandat, Donald Trump était très critique envers les vaccins. Début 2017, il nommait le célèbre avocat Robert Kennedy Junior à la tête d’une nouvelle commission sur la sûreté de la vaccination. Ce dernier étant connu pour sa position très critique envers les vaccins et pour sa lutte pour la défense de la santé des enfants. Il a depuis réalisé des discours historiques contre la dictature sanitaire.
L’article ci-dessus rappelle que Donald Trump avait tweeté en 2014 que « de jeunes enfants en bonne santé vont chez le médecin, reçoivent des doses massives de multiples vaccins, ne se sentent pas bien et changent » pour devenir « autistes ». « Il y a de nombreux cas comme cela ».
En 2018, le Président Donald Trump a rencontré son homologue chinois Xi Jinping. Cette rencontre fut selon Alexis Cossette (Radio Québec) le tournant durant lequel Xi Jinping dévoila à Donald Trump que les mondialistes préparaient la création d’une pandémie dans le but de détruire l’économie mondiale, d’instaurer leur Grand Reset, et d’imposer une vaccination mondiale. Le Président Trump a également probablement eu accès à de nombreuses informations en s’installant à la Maison Blanche. Il cessa dès lors de se donner une image d’anti-vax.
Le plan des mondialistes était de fabriquer une pandémie qui effondrerait l’économie mondiale pendant plusieurs années. C’est alors qu’ils auraient sorti un vaccin salvateur. Ce dernier aurait été tellement attendu par une population dévastée, confinée, masquée, isolée pendant des années, que l’immense majorité de la population y aurait adhéré. Une vaccination obligatoire aurait été acceptée sans résistance, tout comme le passeport vaccinal. L’économie étant effondrée, la grande réinitialisation aurait alors pu démarrer. Nous pouvons aussi penser que ce « vaccin » aurait été parfaitement maîtrisé par les mondialistes, remplissant leur fonction sans éveiller les soupcons de la population (insérer des nanotechnologies dans le corps ? réduire la population progressivement ? stériliser les humains ? modifier leur génomes ? etc.). Cela veut dire que ce vaccin aurait très bien pu être réellement efficace contre le Covid-19, empêchant transmission et contamination, voire même les formes graves, mais être nuisible sanitairement ou socialement par ailleurs.
Dès le début de la pandémie, Donald Trump à tout de suite dénoncé les mensonges des médias et des autorités de santé, encouragé les traitements (notamment l’hydroxychloroquine), remis en question les masques et refusé les confinements. D’autres présidents patriotes ont également tenu la même stratégie, par exemple Bolsonero au Brésil et Magufuli en Tanzanie. Donald Trump, à la surprise générale, lança l’opération Warp Speed, consistant à sortir en urgence des vaccins anti-covid, après seulement 8 mois de pandémie. Passant alors d’anti-vax à leader de la vaccination mondiale…
Ce faisant, Donald Trump a tout simplement coupé l’herbe sous le pied des mondialistes qui n’envisageaient pas l’arrivée si précoce d’un vaccin, seule issue possible à la crise dans leur narratif. Par ailleurs, étant accusé par tous les médias mainstream d’être le responsable de centaines de milliers de morts américains du « Covid-19 », Trump ne pouvait pas se prononcer contre les vaccins. Mettre en place une politique anti-vaccinale lui aurait attiré les foudres des médias internationaux. De même, comment aurait-il pu continuer à protéger les américains des vaccins une fois Biden au pouvoir ? Sortir des vaccins baclés le premier semblait donc être un bon compris.
Le président russe Vladimir Poutine semble d’ailleurs avoir utilisé la même stratégie, sortant son vaccin Sputnik le premier, le testant même sur sa fille.
Les mondialistes ne veulent pas d’une sortie de crise si précoce, l’économie mondiale n’étant pas encore effondrée. Cependant, les populations aspirent désormais à retrouver leur vie d’avant grâce à la vaccination, comme cela leur a été promis. Ils se retrouvent alors dans une situation délicate, puisqu’ils doivent faire accepter à la population qu’elle ne retrouvera pas sa vie d’avant car les vaccins ne permettent pas de mettre un terme à l’épidémie, et en même temps, qu’elle doit se faire vacciner avec ces produits inefficaces.
Le narratif actuel est que la pandémie continue, les mesures sanitaires liberticides se maintiennent et se durcissent même (masque, pass sanitaire, confinement, vaccination obligatoire, etc.), mais que les vaccins fonctionnent quand même, n’évitant pas les contaminations et les transmissions mais réduisant les formes graves à condition de prendre des doses supplémentaires (deuxième, troisième puis quatrième et ainsi de suite). Pourtant, comme le rappelle Donald Trump dans un meeting, il y a plus de morts du covid depuis le début des vaccinations qu’avant.
Selon Bill Gates, les vaccins pourraient finalement mettre un terme à l’épidémie… à moins qu’un variant plus mortel ne fasse son apparition ! Et ça serait reparti pour un tour : nouveau variant, propagande, peur, masque, confinement, pas de traitements, nouveaux vaccins. La stratégie mondialiste est donc bien de gagner du temps pour maintenir une situation de crise sanitaire.
Cette situation ne peut pas tenir, d’autant plus qu’il y a de plus en plus d’études montrant l’efficacité des traitements (Didier Raoult a probablement été une très grosse épine dans le pied du mondialisme, s’attaquant désormais à Bill Gates dans un entretien sur BFM TV) et que les soignants révèlent de plus en plus la supercherie. La résistance se fait de plus en plus grande partout sur le globe. Le mensonge ne tient plus !
Par ailleurs, en plus d’être inefficaces, les injections tuent ou font souffrir de nombreuses personnes d’effets secondaires graves, et les médias mainstreams commencent à ne plus pouvoir le cacher. Etait-ce prévu par les mondialistes que ces effets secondaires soient si visibles ? Le fait que les vaccins soient toujours officiellement en phase de test augmente le sentiment d’insécurité dans la population et démontre toute l’irrésponsabilité et la négligence des gouvernements envers le peuple qui est de fait utilisé comme cobaye. De plus, forcer sa population à recevoir un produit expérimental, défie toutes les lois nationales et internationales et met les élites dans une situation délicate.
Tout cela renforce de manière exponentielle la réticence des populations à recevoir l’injection, la résistance des peuples aux lois sanitaires et l’éveil des populations. Cela augmente également la défiance envers la vaccination en général dans l’opinion publique, mais également envers Big Pharma, les Big Tech, les médias mainstreams et les gouvernements mondialistes. N’est-ce pas là une victoire pour Trump ? N’est-ce pas pour cela que Robert Kennedy Junior n’a jamais reproché à Trump son opération Warp Speed ? En revanche, cette stratégie, si tant est que cette analyse soit juste, implique des dommages collatéraux nombreux (d’autant moins qu’il y aura de placebos, de doses peu concentrées et de faux certificats de vaccination). Comme dans toute guerre hélas.
Pour résumer, en sortant des vaccins précocement, Donald Trump a fait échouer le plan mondialiste qui consistait à faire durer la pandémie plusieurs années puis à imposer un vaccin salvateur à une population à genou. A la place, le peuple est désormais debout, plus défiant que jamais envers les gouvernements, les médias mainstreams, le narratif sanitaire et l’utilisation frauduleuse de la vaccination à des fins politiques et non sanitaires.
Cette version des faits nous permet de mieux comprendre pourquoi, en août 2021, Donald Trump a déclaré dans un entretien avec Fox News que sont Opération Warp Speed avait « sauvé 100 millions de personnes », alors même qu’il n’y a aucun élément permettant de penser que les vaccins aient sauvé la moindre vie… Et d’ajouter qu’il était contre la vaccination obligatoire : « Je crois vraiment dans la liberté de chacun de faire son choix. […] Je suis un très grand fan de nos libertés, et les gens doivent faire leur choix eux même ».
Cela permet également de mieux comprendre le discours de lancement de l’Opération Warp Speed du général de l’armée de terre américaine Gustave Perna le 15 décembre 2020. En effet, ce discours fait le parallèle entre la pandémie et la seconde guerre mondiale : « Vous m’avez entendu parler aujourd’hui du jour J, certains pensent que je voulais parler du jour de la distribution, en fait, le jour J dans l’armée signifie le jour où la mission commence. Le jour J a été un tournant décisif dans la seconde guerre mondiale, c’était le début de la fin. Le jour J était le début de la fin, et c’est là que nous en sommes aujourd’hui. Mais ne vous y trompez pas, ce n’était pas le début de la fin, des mois et des mois de dur combat ont eu lieu et il a fallu de la diligence, du courage et de la force pour finalement remporter la victoire. »
Et pour ceux qui auraient encore un doute, n’oublions pas également que Donald Trump a profité de cette offensive mondialiste pour placer une attaque puissante à Big Pharma, en promouvant une médicine connue depuis longtemps des milieux alternatifs et reconnue comme étant probablement la plus efficace pour traiter quasiment toutes les maladies, à savoir le Dioxyde de Chlore (aussi connu sous le nom MMS ou CDS). Rappelons-nous comment la communauté politico-médiatico-médicale mondialiste s’était alors mobilisée pour moquer l’homme qui était en train de les anéantir…
Liens vers les articles des images :
https://www.nytimes.com/2020/03/09/health/trump-vaccines.html?ref=oembed
https://www.capital.fr/economie-politique/pas-de-vaccin-contre-le-virus-avant-fin-2021-1368205
https://nypost.com/2021/08/08/donald-trump-says-operation-warp-speed-saved-lives/